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Le Pen - Page 9

  • 1.000 chantiers… mais pas une place de prison

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Ce n’est pas 15 chantiers, ce n’est pas 150, ce n’est pas 500, c’est 1.000 chantiers, mesdames messieurs, que nous allons ouvrir pour « dynamiser la relance », nous annonce un bonimenteur de foire devenu ministre de la République.

    La démagogie n’a plus de limites. Dans l’énumération à la Prévert de cette multitude de chantiers, très nombreux sont ceux qui, non seulement étaient déjà prévus, mais en outre étaient déjà commencés, certains depuis plusieurs années.

    Il s’agit essentiellement d’opérations d’entretien du patrimoine, transférées des ministères qui devaient s’en occuper au nouveau ministère de M. Devedjian.

    S’il est un secteur qui a besoin de façon urgente d’une action de l’Etat, c’est la construction de prisons, en raison de l’aggravation de l’insécurité. Or on ne voit rien de tel dans l’interminable catalogue.

    On n’aura jamais autant pris les Français pour des imbéciles. Mais là, c’est vraiment trop voyant. La « communication » de M. Sarkozy part en vrille.

  • Eric Besson est bien sarkozyste…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    On ne doute pas une seconde que les images de M. Besson, ministre de l’Immigration, jouant au football avec des immigrés clandestins, ne fassent le tour du monde.

    De telles images sont une pompe aspirante bien plus efficace que les lois les plus laxistes.

    Quand M. Besson dit en même temps qu’il veut rendre « étanche » la zone du Calaisis où se regroupent les immigrants illégaux, il se moque du monde. C’est de la politique de Gribouille.

    Mais cela confirme en effet que M. Besson est devenu sarkozyste…

  • La cour d’appel relaxe à moitié Le Pen

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Dans un arrêt de ce jour, la Cour d’appel de Paris a confirmé la décision des premiers juges me déclarant coupable de contestation, par insinuation, de crimes contre l’humanité, mais elle m’a relaxé de l’infraction d’apologie de crimes de guerre.

    Cette relaxe constitue un revers pour le Procureur de la République de Paris et pour les magistrats de la 17ème chambre : pour me condamner, ils prétendaient en effet que j’avais, dans mes propos, confondu exprès la Gestapo et la Feldgendarmerie, à la seule fin de pouvoir chanter les louanges d’une organisation déclarée criminelle par le jugement de Nuremberg. La Cour a écarté cette argumentation hystérique.

    La Cour a aussi déclaré irrecevables les constitutions de partie civile du MRAP de M. Aounit, de la Ligue des droits de l’homme de M. Tubiana, de la Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes (proche du parti communiste) et de la commune de Villeneuve d’Ascq. On doit se féliciter de la mise à l’écart de ces « ligues de vertus » qui, en réalité, n’étaient là qu’en adversaires politiques. Il reste que je me pourvois évidemment en cassation contre la seule condamnation qui me frappe encore, elle constitue une nouvelle atteinte à la liberté d’expression, atteintes pour lesquelles la France est condamnée avec une régularité de métronome par la Cour européenne des droits de l’homme.

  • Les députés s’amusent

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les députés socialistes font la bronca, chantent la Marseillaise au pied de la tribune comme pour faire acte de résistance patriotique, demandent la démission du président de l’Assemblée nationale et boycottent la séance des questions au gouvernement…

    Spectacle dérisoire d’une Assemblée, devenue pour l’essentiel chambre d’enregistrement des décisions prises à Bruxelles, qui passe son temps à se disputer sur un droit d’amendement dont elle n’a plus l’usage pour ce qui concerne les trois quarts des lois…

    On attend des députés français, non qu’ils chantent la Marseillaise en une si vaine occasion, mais qu’ils défendent concrètement la nation.

  • Nicolas Sarkozy va établir la paix…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le problème d’Israël et des Palestiniens dure depuis 60 ans. Mais Nicolas Sarkozy prétend le régler « dans les prochaines semaines », en profitant de la crise de Gaza, par une « grande conférence » qui permettra de « poser les bases d'une paix durable », selon ce qu’il a dit à Charm el-Cheikh.

    Puis il a récidivé à Jérusalem, en ajoutant que « ce n'est pas plus d'efforts de faire un grand plan de paix définitif qu'un petit plan de paix provisoire ».

    Bref, le Proche-Orient attendait Nicolas Sarkozy pour que vienne enfin la paix. Et à l’entendre, rien n’est plus simple.

    Lorsque le Président de la République fait ce genre d’annonce dans les affaires françaises, ce n’est que son propre crédit qu’il met en jeu.

    Mais en se comportant de même dans les affaires internationales, il ruine le crédit de la France.

  • Le bluff d’Hortefeux

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le ministre de l’Immigration annonce triomphalement que près de 30.000 étrangers ont été reconduits aux « frontières » en 2008, soit 28,5 % de plus qu’en 2007.

    Il souligne lui-même que le tiers de ces éloignements sont des « retours volontaires », en augmentation de plus de 200 % par rapport à 2007.

    Or la grande majorité de ces « retours volontaires » sont des « retours humanitaires » de Roms roumains et bulgares qui empochent le pécule qu’on leur donne et reviennent ensuite quand ils veulent, au nom de la libre circulation des citoyens de l’Union européenne.

    Pendant que M. Hortefeux prend les Français pour des imbéciles, l’immigration se poursuit donc comme avant, augmentée de « l’immigration de travail » voulue par M. Sarkozy aux dépends des travailleurs français.

  • Ne pas importer le conflit ?

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    « Il ne faut pas laisser importer en France les conflits du Proche-Orient », disent, en une touchante unanimité, de nombreux responsables politiques et gouvernementaux.

    Mais il fallait commencer par ne pas importer des millions d’immigrés qui par leur culture et leur religion se sentent solidaires du Hamas, quoi que l’on pense par ailleurs de ce qui se passe à Gaza.

    Ce qui est en cause n’est pas l’importation d’un conflit, mais l’importation de populations non assimilables, qui restent étrangères, voire hostiles à la France, comme les manifestations de samedi l’ont rudement montré.

    Au lieu de se payer de mots, il faudrait d’abord arrêter cette importation et renverser le flux de l’immigration, qui continue de déferler sur notre sol.

  • Le Crif s’en prend à Le Pen

    Richard Prasquier, le président du Crif, dénonce « le vocabulaire d'amalgame outrancier et mensonger » de Jean-Marie Le Pen qui a comparé Gaza à un camp de concentration, expression « qui fait référence à un passé que M. Le Pen a souvent contesté par ailleurs » (sic), et « évoque des lieux d'emprisonnement, de travail forcé et de mort ».

    Dans ses vœux à la presse, à la question d’un journaliste sur le conflit, Jean-Marie Le Pen a répondu :

    « L'offensive militaire d'envergure lancée contre une population civile concentrée dans ce qui est un véritable ghetto, un véritable camp de concentration, me paraît choquante. Je comprends que l'éléphant s'irrite quand le moustique lui pique l'oreille mais je ne peux pas croire à la thèse selon laquelle Israël se sent menacée parce qu'en six mois, il est mort trois de leurs ressortissants sous les dizaines de fusées qui tombent tous les jours, semble-t-il dans le désert. Je comprends que l'Etat d'Israël veuille défendre ses citoyens, même s'ils sont menacés en petit nombre, mais la riposte me paraît hors de proportions. »

    Hier, l’expression « camp de concentration » (qui n’est pas nouvelle) pour désigner Gaza a été utilisée par le cardinal Martino, préfet du conseil pontifical Justice et Paix.

    D’autre part, en évoquant ce conflit ce matin devant le corps diplomatique, Benoît XVI a déclaré :

    « Une fois de plus, je voudrais redire que l'option militaire n'est pas une solution et que la violence, d'où qu'elle provienne et quelque forme qu'elle prenne, doit être condamnée fermement. »

  • Le dégonflement des baudruches

    Extrait des vœux de Jean-Marie Le Pen à la presse :

    Cette crise, ce sont tous ceux qui nous ont gouverné ou nous gouvernent qui en sont les responsables.

    Oui, les responsables, ce sont les apprentis sorciers de l’économie qui auréolés d’une gloire factice, éblouis par des idées qu’ils croyaient modernes ont détruit Nations, Etats constitués - les équilibres éternels de la Raison d’Etat et de la sagesse immémoriale des peuples - services publics, tous livrés aux lois de la marchandisation universelle.

    Ces histrions se voyaient plus grands que l’Histoire dont ils annonçaient la disparition au profit du veau d’or, du nouveau Léviathan le libéralisme mondialisé !

    Mais l’Histoire donne de terribles leçons aux petits marquis poudrés qui nient les réalités essentielles de la vie, mais terrifiantes leçons que payent nos concitoyens !

    Car la magie de leurs compétences proclamées, de leur fausse science, de leur technique économique et financières qui n’étaient que mensonges et faux-semblants, est bien morte.

    Et si leurs erreurs n’accablaient pas nos concitoyens, on s’esclafferait à les voir essayer de rebâtir ce qu’ils ont détruit hier, en nous présentant le retour en arrière comme l’alpha et l’oméga de la réforme !

    Les voilà tous, avec l’ardeur des néophytes, des nouveaux convertis, défenseurs des Nations protectrices des intérêts de la communauté nationale, adeptes du contrôle et des réglementations, eux qui ne juraient hier que par le « laissez faire laissez aller » !

    Mais l’année 2009 n’est pas seulement ce roboratif dégonflement de baudruches, cette dégringolade de piédestal, elle est aussi et il faut nous en réjouir l’année du « Bas les masques ! »

    Il n’a pas fallu longtemps au fondé de pouvoir des Grands du Cac 40, pour les remercier de leur soutien avant et après son élection ! Ce n’est pas Nicolas Sarkozy, c’est Nicolas Fouquet !

    Après l’aumône du paquet fiscal aussi inefficace qu’injuste, nous voilà rentré dans le vif du sujet !

    - A TF1, la suppression de la publicité dans l’audio visuel public et la deuxième coupure publicitaire des films et des oeuvres de fiction

    - A la grande distribution, l’abrogation de la loi Royer l’implantation des grandes surfaces dans les villes de moins de 40.000 habitants, dans 300 quartiers de villes de plus de 30.000 habitants, de superettes dans les communes de moins de 2.500 habitants !

    - Au secteur privé, le démantèlement de la Poste, l’affaiblissement de l’hôpital public, la réduction programmée de tous les services publics !

    Et pour couronner le tout une immigration clandestine si faiblement combattue qu’elle est objectivement encouragée par ces nouveaux esclavagistes, ces négriers des temps modernes qui se livrent à une exploitation éhontée de cette misère humaine.

    Doublement profitable puisqu’elle permet dans le même temps de pousser à la baisse, les salaires des travailleurs français !

    Les voilà, les trente deniers de Judas, de celui qui osait se prétendre, à la place du Front National, mieux que le Front National, le défenseur des Français, de tous les Français et en particulier des plus faibles et des plus démunis !

    Mais Le Président Nicolas Fouquet, surintendant des finances de cette Europe du capitalisme financier, de cette Europe des Banksters, ne mène pas le bal tout seul !

    Tous unis : PS, Modem, Besancenot, dans le plus d’Europe et le plus d’immigration, laissant cette fois encore, plus encore que naguère le Front National dans le seul contre tous !

  • Nicolas Sarkozy se croit toujours président de l’Europe…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le Président Sarkozy, en tournée au Proche Orient, s’exprime avec insistance au nom de « l’Europe », il ne s’exprime pas au nom de la France.

    Or, pour tenter de trouver une solution au conflit actuel, l’Union européenne a officiellement dépêché sur place une troïka formée des ministres des Affaires étrangères tchèque, français et suédois.

    Nicolas Sarkozy se comporte comme s’il était toujours président du Conseil européen. Non seulement c’est grotesque, mais c’est un affront à la nation.

    La seule légitimité de la présence du président de la République française dans cette région est qu’il fasse entendre la voix de la France. Nous pourrions soutenir ses efforts s’il parlait au nom de son pays. Nous ne pouvons que condamner cette mascarade pseudo européenne qui efface la France pour servir l’ego de son Président.